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[fre]Le livre choisi pour ce travail vient de mon intérêt, pour la littérature de montagne qui émane directement de ma passion pour la randonnée pédestre. Cela nous porte à rechercher, pendant nos vacances, un écrivain qui ait un lien singulier avec la région que je visite. Cette année, je l’ai découvert en Haute-Savoie, dans les Alpes françaises. Il s’agit du livre Contes à Pic1de Paul Gayet-Tancrède. L’auteur qui a choisi le pseudonyme de Samivel est étiqueté comme un écrivain de littérature alpine et les neuf histoires qui conforment son recueil (des thèmes populaires, folkloriques, légendes, mythologies, etc.), Samivel les a écrites dans le style naturel qui correspond au genre du conte. Et bien sûr, le décor est la montagne. De cette manière, nous pouvons manifester que l’écrivain fusionne la littérature de montagne ou alpine au genre du conte. Nous avons divisé le travail en trois parties. La première retrace la biographie de l’auteur. La deuxième, tente de faire le point sur la situation de la « littérature de montagne », à partir de la question de savoir si elle constitue, ou non, un genre littéraire. Finalement, la dernière partie a l’intention de situer le livre Contes à Pic dans cette littérature de montagne. Puis, à l’aide de la traduction d’un de ses contes, intitulé À la recherche d’une situation2, de présenter la complexité du vocabulaire de la montagne, en s’appuyant, en particulier, sur la figure de l’analogie. Nous allons essayer de voir si cette difficulté est similaire en français et en catalan. Cette complexité pour décrire la montagne est due au fait que, dans les siècles précédents, il a existé un « blanc » dans ce domaine. En effet, les montagnes ont été durant longtemps un « locus nullius » : un lieu de nulle part. |
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